En 1886, Gauguin débarque dans le pittoresque bourg finistérien de Pont-Aven où prospère une colonie de peintres. Par son aura, il devient la figure centrale d’un groupe de jeunes artistes en rupture avec l’académisme, qu’il influence durablement. En 1888, il y invente le “synthétisme”, l’une des premières étapes dans la genèse de l’art moderne.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Nouveau musée, bel écrin
Gauguin a inscrit Pont-Aven sur la carte du monde. Et Pont-Aven le lui rend bien. Après trois ans de travaux, le premier musée au monde consacré à…
Bertrand Tavernier à Penmarc’h
Pointe finistérienne, un jour de grand vent, un week-end de décembre 2013. La mer est agitée. Aux abords du petit cinéma de Penmarc’h, situé sous le phare d’Eckmühl,…
Madeleine Grenier, une œuvre méconnue
Fille du philosophe et écrivain Jean Grenier, Madeleine Grenier est une artiste dont l’œuvre diaphane fut inspirée par la lecture de Conrad, les ciels de pluie et les…
Un hiver à Sein
Un jour d’hiver parmi d’autres. Le quai est vide. Sur l’île, la petite centaine de Sénans ne lira pas la presse du jour. Une fois encore, le…
Gens de Glasgow & Édimbourg
Géraldine Lay aime photographier les passants comme s’ils étaient des figurants, la rue comme un théâtre à ciel ouvert. Au fil de ses photographies, une histoire se crée…
Les baguettes magiques d’Éric Grandchamp
Éric Granchamp, archetier de renommée internationale, est installé dans la presqu’île de Crozon où son atelier domine l’anse de Morgat. Il fabrique ses archets en bois de pernambouc…
