Loin des images d’Épinal de soldats qui partent au front “la fleur au fusil”, c’est la “consternation générale” qui frappe les Bretons quand le Gouvernement déclare la mobilisation générale le 1er août 1914. L’historien Yann Lagadec raconte pour ArMen comment les Bretons ont vécu les premières semaines de ce qui allait devenir la “Grande Guerre”.
Autres articles de ce numéro:
- Kris, archiviste des humbles
- L'entrée en guerre des Bretons, l'été 1914
- La Folle Journée de Nantes
- L'UDB, 50 ans de combats
- Jacques Villeglé, voleur d'images
- La mulette perlière, témoin menacé
- Édito - Morceaux de guerre
- Lettres de poilus - une question de survie
- Louis Marie Dujardin, médecin photographe
- Un bout de chemin... avec Gilles Servat
- Distro ar bonedoù ruz
A lire également
1917 Au coeur du conflit mondial
Éloignée du théâtre d’opérations, la Bretagne a pourtant subi dans sa chair la Première Guerre mondiale. À l’heure où le rendez-vous The Bridge associe les ports…
1500 ans de “fureur bretonne”
Guérilla, insurrections, résistance, toujours au nom d’une identité revendiquée… Du vie au XXIe siècle, la “fureur bretonne” ne s’est jamais éteinte. Auteur, en 2006, de la remarquée Histoire…
La révolte des Bonnets rouges
En 1675, les campagnes bigoudènes et du Poher se soulevaient lors d’une insurrection connue sous le nom de révolte des Bonnets rouges. Ce n’est pas tant…
Ferme de la maison de retraite de Ker-Anna à Sainte-Anne-d’Auray, le jour où le tracteur est arrivé…
Entre les années 1960 et les années 1970, la maison de retraite de la congrégation des Filles du Saint-Esprit à Sainte-Anne-d’Auray vivait en quasi autonomie grâce…
Aux sources de l’écologie bretonne
Si l’écologie politique émerge au cours des années 1970, un nouveau rapport à la nature apparaît dès le XIXe siècle. Celui-ci se caractérise par une prise de conscience…
Un élément du costume traditionnel oublié : la peau de chèvre
Trop fascinés par la beauté et l’élégance des costumes traditionnels, les chercheurs ont négligé les manteaux en peau de chèvre qui, à leurs yeux, semblaient trop…