Belz est le seul endroit en France où pousse le panicaut vivipare. Sa sauvegarde tient dans un programme coordonné par le Conservatoire national botanique de Brest. La démarche intéresse la Galice où la plante se fait également rare.
Revue n°221 - Novembre/Décembre 2017
A lire également
La vallée retrouvée de Guerlédan
L’assec du lac de Guerlédan dévoile une vallée perdue. Sacrifiée en 1929 au nom d’un barrage chargé d’électrifier la Bretagne. Sa construction, utopique au départ et controversée, a…
Le Léguer, une rivière sauvage
Le saumon, la loutre ou la renoncule aquatique reprennent leurs marques dans le Léguer. Conséquence des efforts entrepris depuis plus de vingt ans, la rivière a…
L’archipel d’un autre hémisphère
Associer le nom des Glénan à l’école de voile ne peut faire oublier les richesses naturelles et la beauté sauvage de cet archipel qui a, de…
Pêcheurs et scientifiques sur un même bateau
Pointure internationale en biologie des pêches maritimes, Ray Hilborn est venu en Bretagne témoigner de la nécessité de partager les connaissances entre professionnels et scientifiques pour gérer les…
L’automne retrouvé des croqueurs de pommes
Des six mille variétés de pommes cultivées en Bretagne au début du XXe siècle ne subsistaient, à l’état de “reliques”, que quelques dizaines au milieu des années 1980….
Au chevet de la saint-jacques
Exploitée depuis 1915, la coquille Saint-Jacques est un emblème de la culture maritime bretonne. Pourtant l’espèce est fragile et sa pêche localement compromise. Érosion des stocks et planctons…