Sébastien Carney sait faire danser les hommes comme les mots. La thèse de ce jeune historien vient de paraître aux pur. Il s’est plongé dans la lecture du journal Breiz Atao pour mieux connaître les figures du nationalisme breton de l’entre-deux-guerres.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Parachutages sur les mairies bretonnes
Par ambition, opportunité ou convenance, les femmes et hommes politiques ne se présentent pas toujours aux élections municipales là où ils habitent. Si la greffe prend parfois, les…
Un dictionnaire pour demain
Les dictionnaires ne semblent pas faire défaut à la langue bretonne. Le premier dictionnaire breton, le Catholicon de Jean Lagadeuc, un ouvrage trilingue – breton, latin,…
Le mouton d’Ouessant, patrimoine vivant
Le groupement des éleveurs de moutons d’Ouessant fête ses quarante ans en 2016. Son action a contribué non seulement à la sauvegarde du plus petit mouton du monde,…
Le chêne vénérable et sacré
Dans la campagne et les forêts bretonnes, le chêne possède mille vertus que les hommes continuent d’honorer. Certains spécimens sont millénaires et font partie des dizaines d’arbres remarquables qui…
Lanvénégen, un refuge au bout du monde
Au début des années 1980, Lanvénégen se mobilise pour accueillir des familles fuyant la guerre au Laos. Pour l’avoir effleurée enfant, Laëtitia Gaudin-Le Puil revient sur…
L’Écosse, un an après
Le 18 septembre 2014, les Écossais se divisaient autour de leur indépendance. À 55 % des voix contre, les unionistes remportaient le référendum et ajournaient pour un temps…