L’écrivain Hervé Bellec retrouve un territoire qu’il a négligé depuis ses jeunes années de musicien de rue. L’automne venu, deux belles journées de marche lui permettent de faire le tour de la presqu’île de Quiberon. L’effort minimal pour s’imprégner de la diversité harmonieuse et de la beauté subtile d’un site qu’il ne s’agit plus de réduire à sa seule affluence estivale.

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