Belz est le seul endroit en France où pousse le panicaut vivipare. Sa sauvegarde tient dans un programme coordonné par le Conservatoire national botanique de Brest. La démarche intéresse la Galice où la plante se fait également rare.
Revue n°221 - Novembre/Décembre 2017
A lire également
Le saumon, grand migrateur
Le saumon est un poisson sauvage qui s’illustre par sa vigueur et sa résistance. C’est aussi une espèce sensible qui ne perdure en abondance que dans certaines rivières…
Voyage au centre du végétal
“Ce qui m’amuse, c’est d’explorer, de me surprendre et de surprendre”, énonce Christophe Baley, chercheur à l’université de Bretagne-Sud à Lorient. Son domaine de prédilection ?…
Mon littoral en 2050
Le littoral, cet espace particulièrement instable, est déterminant pour la Bretagne. En proie à la menace de la montée des eaux, mais aussi à la convoitise et à…
Les landes, richesses de la pauvreté
Rien de plus méconnu que les landes. Leur terrible régression n’a guère mobilisé les Bretons, qui avaient trop entendu qu’elles étaient à l’image de la misère à laquelle…
L’eldorado des oiseaux marins
Au nord-est de l’Écosse, les Shetland éparpillent leur centaine d’îles dans l’océan. Territoire contrasté par nature, c’est le berceau d’espèces animales domestiques et rustiques, mais aussi…
Au chevet de la saint-jacques
Exploitée depuis 1915, la coquille Saint-Jacques est un emblème de la culture maritime bretonne. Pourtant l’espèce est fragile et sa pêche localement compromise. Érosion des stocks et planctons…