Des six mille variétés de pommes cultivées en Bretagne au début du XXe siècle ne subsistaient, à l’état de “reliques”, que quelques dizaines au milieu des années 1980. Pour éviter la disparition de ce riche patrimoine vivant, des associations se sont lancées dans la collecte, l’identification et la préservation. Près de trois décennies plus tard, les vergers conservatoires se sont multipliés.

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