À la chapelle des Ursulines, à Lannion, la peinture d’Yves-Marie Péron impose la force de son bleu, la rudesse du monde élémentaire et lapidaire, par elle saisies au vif. Elle est miroir. Et énigme.
Revue n°220 - Septembre/Octobre 2017
Autres articles de ce numéro:
- EDITO - Porter sa langue loin et longtemps
- La famille du Vagabond
- Le symbole contre la langue première
- L’enjeu de la transmission
- Yannig Baron : breton dans tous les horizons
- Îles Scilly : le redoutable paradis
- Marie-José Chombart de Lauwe : Bréhat, l’île qui forge la résistance
- Papillons diurnes cherchent landes et prairies
- La Baleine de Kergrist-Moëlou : le pain du renouveau
- Un bout de chemin… autour du lac de Guerlédan
- Copeeks suit les cultures à distance
- Fin ar Bed : la série qui rompt les amarres
- Poullaouën : la folle nuit de la gavotte
- Laurent Lefeuvre : créateur de super-héros
- Yves-Marie Péron dans la douceur du ciel
- Les villes gauloises révèlent leur dynamisme
A lire également
Radieux anniversaire au Corbu !
Gwenaëlle Abolivier a vécu une semaine en immersion à la Maison Radieuse de Rezé, à quelques encablures de Nantes. Ce bâtiment gris béton aux façades polychromes fait partie…
Brocéliande met de l’art dans ses étangs
Tous les deux ans, les pièces d’eau du pays de Brocéliande offrent leurs surfaces à des oeuvres éphémères. Pour la neuvième édition, onze artistes proposent au regard dix…
À bord du Grande Hermine
Le photographe Marcel Mochet a embarqué à bord du navire-usine malouin le Grande Hermine, dernier morutier français, durant deux campagnes de pêche. Une immersion dans un monde dur,…
Sur les traces de Jean Epstein
Né à Washington D.C. en 1971, James June Schneider arrive en France en 1999, où il entreprend des études de philosophie qu’il couple à sa connaissance du cinéma….
Paul Bloas, oeuvre majuscule et précaire
La chapelle des Ursulines, à Quimperlé, accueille jusqu’au 4 octobre l’indiscipliné Paul Bloas, peintre brestois de l’éphémère, aux géants de papier et aux méduses allégoriques.
Gens de Glasgow & Édimbourg
Géraldine Lay aime photographier les passants comme s’ils étaient des figurants, la rue comme un théâtre à ciel ouvert. Au fil de ses photographies, une histoire se crée…

