En cette année 2012, durant laquelle douze musées bretons ont honoré le Japon, l’historienne de l’art Denise Delouche souligne combien Paul Gauguin, amoureux à la fois des estampes japonaises et de la Bretagne, fut à la croisée des chemins. Si sa découverte des estampes japonaises a été capitale dans son évolution, son contact avec la civilisation rurale bretonne ne le fut pas moins.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Posts 1 to 3 of 6
Paysages vivants
“Pour des paysages d’Armorique choisis”, titre de la charte 2009-2021 du parc naturel régional d’Armorique, traduit une volonté de faire du paysage un élément central de réflexion entre…
OEil tendre sur un monde de femmes
Le réalisateur Nicolas Leborgne a glissé sa caméra parmi quinze femmes en réinsertion et suivi un atelier chorégraphique où elles réapprennent à communiquer avec leur corps, les autres…
Monterfil Le gallo sort du village
En 1976, la musique bretonne a le vent en poupe. Mais la Haute-Bretagne peine à trouver sa place dans ce mouvement face à sa soeur de l’ouest,…
