À l’heure où l’intérêt envers les plantes va croissant, à l’heure où la législation relative au métier d’herboriste parfois mal perçu pourrait évoluer, les discussions vont bon train et chacun de s’interroger sur l’avenir des simples. En Bretagne, le nombre de producteurs est passé, en trente ans, de deux à soixante-dix-huit.

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