En cette année 2012, durant laquelle douze musées bretons ont honoré le Japon, l’historienne de l’art Denise Delouche souligne combien Paul Gauguin, amoureux à la fois des estampes japonaises et de la Bretagne, fut à la croisée des chemins. Si sa découverte des estampes japonaises a été capitale dans son évolution, son contact avec la civilisation rurale bretonne ne le fut pas moins.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Le cinéma breton en escale à Saint-Quay
Le monde de l’audiovisuel breton organise, depuis quinze ans à travers l’association Films en Bretagne, trois jours de rencontres dédiés aux professionnels, permettant d’activer les réseaux interrégionaux, d’échanger…
Sant-Nazer, bagad urbain
Un fort sens du collectif, un caractère pionnier, un désir d’innovation… Hors de sa Bretagne natale, le bagad de Saint-Nazaire doté de toutes ces qualités a également…
Goudie, l’Écossais de Bretagne
La Bretagne est terre des peintres. Elle accueille dans les années 1960 un Écossais, Alexander Goudie, dont la réputation n’est plus à faire outre-Manche. Chaque été, pendant plus…
Olivier Polard, écrivain, archiviste et rocker
Guitare électrique en bandoulière et plume à la main, le Brestois Olivier Polard poursuit son exploration du monde musical à partir de sa ville natale. Deux nouveaux ouvrages…
Les baguettes magiques d’Éric Grandchamp
Éric Granchamp, archetier de renommée internationale, est installé dans la presqu’île de Crozon où son atelier domine l’anse de Morgat. Il fabrique ses archets en bois de pernambouc…
Le coeur de l’hiver
Sirio Magnabosco a parcouru l’Écosse, des Highlands aux îles de l’Ouest, empruntant chaque route étroite et sinueuse, afin d’en rapporter des images nouvelles, comme rafraîchies. Il ne s’est…