La plante symbole de la Bretagne a été semée sur l’île de la Réunion au xixe siècle. Elle perturbe aujourd’hui la biodiversité locale. Des chercheurs rennais ont étudié cette histoire avec un regard neuf, en biologistes et en sociologues.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Des batraciens en quête de préservation
En cet hiver 2018, des initiatives favorisant la migration des batraciens vers leurs sites de reproduction ont été reconduites à Saint-Malo ou dans la forêt de…
Panicaut vivipare : Belz terre de résistance
Belz est le seul endroit en France où pousse le panicaut vivipare. Sa sauvegarde tient dans un programme coordonné par le Conservatoire national botanique de Brest….
Un jardin aux couleurs du monde
La Bretagne est une terre de jardins. De la plus petite parcelle potagère au vaste parc d’ornement, elle a, au fil des siècles, su convaincre des centaines de…
Des plantes et des hommes
Les pionniers de “la gestion différenciée” des parcs et jardins sont deux Bretons, Jean Le Rudulier et Yves-Marie Allain qui, dès les années 1980, expérimentent, chacun de leur…
Mon littoral en 2050
Le littoral, cet espace particulièrement instable, est déterminant pour la Bretagne. En proie à la menace de la montée des eaux, mais aussi à la convoitise et à…
Une terre nourricière à la croisée des chemins
Partie de peu, la Bretagne est devenue en moins d’un siècle la première terre nourricière en Europe. Un statut fragile qui nécessite une nouvelle mue. Il s’agit de…
