Saint-André-des-Eaux, en plein cœur de la Brière, peu avant la sortie de l’agglomération, un bâtiment en bardage bois, l’atelier JHP. En face, de l’autre côté de la route, un appentis en bois : c’est là qu’a commencé l’histoire du couteau Morta il y a une dizaine d’années.

Revue n°237
Autres articles de ce numéro:
- Marika et Nicolas Guérin Une ferme en Brière, terre de Bretonnes pie noir
- Corsaires de Bretagne
- Le couteau Morta, au cœur de la Brière
- Christophe Adam, pâtissier et entrepreneur éclairé
- Un élément du costume traditionnel oublié : la peau de chèvre
- L’Île aux femmes, aux sources du matrimoine breton
- Entretien avec Enki Bilal
- Meuriad Bredewi : soniñ bemdez e yezh ar vro
A lire également
Madeleine de Sinéty : la ligne révélatrice
Dans les années 1970, Madeleine de Sinéty a photographié les hommes et les machines de la ligne de chemin de fer entre Guingamp et Paimpol. Un…
Nathalie Dérouet, rêve de terre et d’eau
À Douarnenez, les céramiques de Nathalie Dérouet viennent avec la lumière du Finistère et rêvent de lointains. Les lignes simples et épurées se superposent, racontent tout aussi bien…
Musée de Bretagne. Images d’un temps passé : le monde du travail
Le musée de Bretagne, installé au cœur des Champs Libres à Rennes, conserve la plus importante collection de photographies en Bretagne, avec quelque 500 000 négatifs…
Un oeil humaniste sur l’or bleu
Alors que la dernière ardoisière de Bretagne ferme ses portes, Claude Le Gall nous livre un témoignage sorti de la fin des années 1970. Le photographe, qui a…
Au cœur du silence
D’un office à l’autre, des pâtes de fruits au jardinage, de l’introspection à la rencontre, la photographe Aïcha Dupoy de Guitard offre un témoignage réaliste et…
Un dimanche aux courses de Corlay
Un dimanche pas comme les autres nous entraîne à Corlay, à l’hippodrome du Petit Paris. Un endroit désuet, exquis. Comme la plupart des obstacles sont visibles…