Partie de peu, la Bretagne est devenue en moins d’un siècle la première terre nourricière en Europe. Un statut fragile qui nécessite une nouvelle mue. Il s’agit de composer avec un agriculteur plus individualiste, des fermes plus grandes, des habitudes alimentaires qui changent et les contradictions d’un consommateur encore minoritaire pour être prêt à payer la qualité au fond de son assiette.