Au début des années 1980, les brasseries industrielles bretonnes ont fermé. C’est à cette même époque que deux amis bretons découvrent la brasserie artisanale, lors d’un séjour sportif au pays de Galles. C’est ce coup de foudre pour un breuvage oublié, non filtré, non pasteurisé et au fort caractère, qui va impulser le mouvement qui perdure aujourd’hui.

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